« IN VIVO » J.P. Viret Trio+1 Mélisse Productions Avril 2022

en écoute

« Une aventure qui débute par
des sessions au printemps 1998,
après huit années passées par le
brillant contrebassiste aux côtés
du violoniste Stéphane Grappelli
disparu en décembre 1997.
« On se dit que cela vaut le coup
d’aller plus loin (…) D’un commun
accord on décide que ce
trio portera mon nom ». Avec le
surdoué Edouard Ferlet au piano,
Jean-Philippe passe dix ans
avec Antoine Banville à la batterie
avant de redémarrer l’histoire
avec Fabrice Moreau depuis
2007, sur le label Mélisse fondé
par Edouard. Huit albums et
deux Victoires du Jazz plus tard,
les quatre musiciens se sont retrouvés
durant la pandémie pour
réinterpréter des morceaux de
la première décennie du trio. Un
temps de pause. Le plaisir des
retrouvailles. « Comme un vin
de garde, le trio s’est épanoui,
se nourrissant mutuellement
de nos chants respectifs ». Que
Antoine ou Fabrice (ou les deux
sur certains morceaux) soient
derrière les fûts, le trio (ou le
trio +) incarne la notion d’équilibre.
A égalité dans l’interaction
et la proposition, la veine mélodique,
l’expression d’une grâce
lyrique, le luxe de couleurs et de
nuances. Un trio dont la lumière
est sans limites, pour un album
infiniment séduisant. »

Alice Leclerq, JazzNews95
Avril 2022

Métamorphoses – Double-Celli – Novembre 2021 (Klarthe KRJ030)

Lien vers le disque/Link to CD

CHOC Classica, Décembre 2021:

« Le pianiste Olivier Calmel crée une nouvelle fois la surprise avec sa formation à géométrie variable où figure un quatuor à cordes sans contrebasse, mais avec deux violoncelles, et une batterie, tenue par l’excellent Antoine Banville. Proposant dix compositions originales, il offre une sorte de jazzz de chambre façonné à travers duo, trio et quatuor, où les influences de Stravinsky, Bartók ou Ligeti se mêlent aux éclats de l’improvisation et de l’inattendu. Indiscutablement originale, cette musique comme venue d’ailleurs illustre à nouveau la voie fructueuse qui intègre dans son cheminement les vertus de la musique classique et celles héritées  du jazz.»

Sébastien Jarrousse 4tet & Guests Novembre 2020

Sortie Novembre 2020! Sébastien Jarrousse: Sax Ténor; Mauro Gargano: Contrebasse; Pierre-Alain Goualche: Piano; Antoine Banville: Batterie; Gaetano Partopilo: Sax Alto; Sébastien Llado: Trombone; Ellinoa: Chant 

« Face The Music » Marc Buronfosse « Sounds » Quartet

« …en se combinant à la musicalité d’Antoine Banville, son jeu clair et coloré crée un syncrétisme qui sculpte la masse sonore à force d’entremêlements subtils bois et métal » Franpi Barriaux, CitizenJazz

« Ponti Sospesi » Fausto Ferraiuolo Trio

Abeat Records – ABJZ140 – 2015

Fausto Ferraiuolo: pianoforte
Mauro Gargano: contrabbasso
Antoine Banville
: batteria

Dona grande piacere ascoltare la musica di Fausto Ferraiuolo in questa (eppure) consueta veste di jazz trio, piano–contrabbasso-batteria, accompagnato al piano da Mauro Gargano ed Antoine Banville alla batteria. Sarà per la semplicità dell’approccio allo strumento, per la duttilità nel passare dalle note più melodiche a momenti di forte presenza ritmica, o per la sapiente e moderata tendenza all’uso dello standard (solo How deep is the Ocean di Irving Berlin) dentro una scaletta costituita da sue composizioni e da una traccia composta da ognuno dei suoi compagni di musica.
Ferraiuolo, musicista napoletano poi itinerante verso altri lidi dove lo hanno portato le sue differenti fasi di vita d’artista, ha collaborato a lungo con Pippo Delbono per le sue magnifiche visioni teatrali, spettacoli unici e dolenti dove la musica ha un suo preciso senso, e questo lo ha sicuramente fortificato ed ha allargato la sua visuale in merito al ruolo della musica nel più complesso sistema delle arti. Ferraiuolo ha al suo attivo nel corso degli anni diversi interessantissimi lavori. Ma in questo Ponti Sospesi/Ponts Suspendus si dona al’ascolto in una veste decisamente canonica rispetto ai riferimenti abituali del jazz. Eppure non corre rischi di banalizzazione, il suo lavoro sembra distinguersi anche a fronte di tanta produzione contemporanea. Probabilmente per quella purezza e semplicità di accostamento alla materia musica. Che in fondo è semplice e fatta di sogno ed immaginazione.

Sergio Spada

26/08/2015

pour « Jazz convention »

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